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Pensée.
30/03/2008 21:58
Un Bouddhiste a dit, un jour:
A force de rester les deux pieds sur terre, on n'avance jamais d'un pas.
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Voyages...
16/03/2008 11:51
Bon, ben alors, deuxième billet d'humeur.
J'ai envie de voyager. Si, je vous jure. En même temps, j'ai toujours envie de voyager. La vie, c'est le voyage, les voyages ouvrent l'esprit. Comment ça, je reviens à peine de Wimmereux? Et je repars dans une semaine dans les Vosges, je sais. Mais je veux voyager plus loin! La savane du Sénégal me manque, les plaines de Hongrie et les glaciers des Alpes me manquent. Et quand on me raconte un trek au Népal (oui, Eme, c'est toi), la seule chose dont j'ai envie c'est d'aller tailler le vent dans les cimes immaculées de l'Himalaya. Oui, un duel contre le vent au sommet de l'Everest... Mais il faut être fou pour le vouloir. Je suis un fou, paraît-il. Croire en ses rêves et en sa différence, vivre le moment présent comme il vient sans se soucier du lendemain, est-ce ça être fou?
Ma vie est jalonnée par les innombrables parties de belote que nous jouons. La chance, la malchance et la folie des hommes. Belote, rebelote, as de pique et maldonne... Ma vie se déroule au fil des cours, des TP (bota, beurk), et des parties de cartes. Et le soir, quand toute l'agitation est retombée, je me mets à rêver, vers le nord, le sud, l'est ou l'ouest. Lorsque je ne peux voyager moi-même, je demande à des amis de me rapporter des cartes postales (Mel, Andana, et tous les autres que j'ai oublié, merci) ou je surfe sur la Toile à la recherche de photos de paysages. Je lis des histoires et des récits de voyages fantastiques, ou je plonge dans ma mémoire à la conquête d'anciennes terres rouges.
Et oui. Je veux voyager. Plus que tout au monde. Sauf peut-être une chose.
Snow
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L'agriculteur...
25/02/2008 22:02
Parce qu'il faut rendre justice à Luna et ihaveadream, voici une très belle chanson de Ridan:
L'Agriculteur.
J'allume mon poste de télé Pour admirer ce qu'il s'y passe Un milliardaire s'envoie en l'air Quitte l'atmosphère pour voir l'espace J'troque son bol d'air et sa cuiller Contre un p'tit verre sur ma terrasse J'en ai ras l'bol de tout ce béton J'ai la folie des grands espaces J'en ai ras l'bol de tout ce béton J'ai la folie des grands espaces Mais qu'est ce qui s'passe dans nos p'tites têtes On s'entasse tous comme des sardines Dans les grosses boîtes que l'on conserve Le p'tit poisson doit suivre sa ligne Dans les grosses boîtes que l'on conserve Le p'tit poisson doit suivre sa ligne {Refrain:} Et puis merde J'ai décidé de vivre loin sur la colline Vivre seul dans une maison Avec la vue sur ma raison J'préfère vivre pauvre avec mon âme Que vivre riche avec la leur Et si le blé m'file du bonheur Je me ferai peut-être agriculteur Et si le blé m'file du bonheur Je me ferai peut-être agriculteur Y'a trop d'feux rouges dans les grandes villes J'ai préféré me mettre au vert J'ai plus de bonheur à vivre en paix Que m'admirer au fond d'un verre J'boirai l'eau saine de mon ruisseau Plutôt que l'eau sale du fond de la Seine Chargée en plomb et en histoire Que la surface ne laisse plus voir Chargée en plomb et en histoire Que la surface ne laisse plus voir J'ferai des bornes pour m'éloigner Pour me retrouver face au miroir Juste une seconde de vérité Pour qu'mon passé coule sous les ponts J'ferai des bornes pour m'éclipser Pour me retrouver face à que dalle Juste une seconde de vérité Pour contempler ce qu'on est tous {au Refrain} Ca fait longtemps que j'n'ai plus vu Ce coin de soleil à l'horizon Ca fait longtemps que j'l'attendais Une petite lueur de la raison Une petite chanson au clair de lune Pour réchauffer le coeur de pierre Le grand retour à l'essentiel Le feu de bois éclaire le ciel Le grand retour à l'essentiel Le feu de bois éclaire le ciel La mélodie de la nature Reprend ses droits sur la folie C'est toute la vie qui nous observe Que l'on oublie au fil du temps La mélodie, celle de la vie Que l'on consume à chaque instant Tous nos acquis s'écrasent au sol Et j'ai choisi la clef des champs Tous nos acquis s'écrasent au sol Et j'ai choisi la clef des champs Et puis merde J'ai décidé de vivre loin sur la colline Survivre seul dans une maison Avec la vue sur ma raison J'préfère vivre pauvre avec mon âme Que vivre riche avec la leur Et si le blé m'file du bonheur Je me ferai peut-être agriculteur Et si le blé m'file du bonheur Je me ferai peut-être agriculteur
Ridan
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Sorte de continuité...
22/02/2008 22:08
Bon, jme lance dans mon premier billet d'humeur...
Ben ouais... Les gens qui passent sur ce blog se diront que je suis un allumé (et fier de l'être), complètement dingue. Les gens qui me connaissent dans la vie réelle ne démentiront pas. Je vais encore une fois vous le prouver... Si vous n'aimez pas tout ce qui sort de l'ordinaire, passez votre chemin... Sinon, bonne lecture.
Ceci est une sorte d'essai sur l'assemblage de certains évènements, récents ou non, dans ma vie, qui me conduisent à penser que beaucoup de choses qui se passent se font dans une sorte de continuité... Une action, un objet, retiré de son sol, et qui, par un jeu d'influence et de changements de propriétaire, ou transmission d'idées, va se retrouver près de sa "terre natale", si l'on peut dire, ou bien servir à une sorte de quelque chose de grand, de beau, un acte symbolique d'une grande valeur. Pourquoi l'Ouroboros? Le serpent qui se mord la queue, l'éternel recommencement, tous nos actes sont au service de quelque chose de plus grand.
Mais j'imagine qu'il vous faut des exemples. Premier exemple: lors d'un voyage en Bretagne pendant les vacances, pendant lesquelles j'ai rencontré Ailiris (ou Liraïs), j'ai acheté un joli drapeau breton, qui a servi pendant ce camp, qui est devenu une sorte d'emblème... Ensuite, ce drapeau a trouvé une place sur mon sac de voyage, ne me quittant plus à chacun de mes déplacements de plus de deux nuits... L'un de ces voyages fût à Lyon, où ce drapeau trouva place à ma taille. Au retour de ce voyage, une amie de Vendée, que je salue d'ailleurs au passage, a littéralement flashé sur ce drapeau, et m'a demandé de lui en faire cadeau. Ce que j'ai fait avec quelque réticences, mais bon. Toujours est-il que ce drapeau orne maintenant un des murs de sa chambre, avec pleins de signatures, dont la mienne. Ce drapeau s'est rapproché de sa "terre natale"...
Toujours pas clair? Un autre exemple, alors. Voyage d'études, près d'une falaise de calcaire, et nous trouvons de magnifiques échantillons de marcassite (ou pyrite, faut avoir confirmation). Retour ici, exposition des cailloux, et puis une amie, que je salue elle aussi, et que je remercie encore une fois, me dit qu'elle a quelque chose pour moi. Moi, pour faire bonne mesure et respecter ce que j'appellerai ici l'échange équivalent (oui, je suis fan de Full Metal Alchemist), je prend un morceau de marcassite pour lui donner en échange de son cadeau. Je la retrouve, après quelque complications, et elle m'offre une magnifique rose des sables, et moi la marcassite. Echange équivalent.
J'ai plus d'autre exemple en tête, là... Ceux qui me trouvent complètement fou, c'est confirmé. Les autres, ben, je reste égal à moi-même. J'espère que vous avez compris, j'ai essayé d'être le plus clair possible.
Snow
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Zombie...
16/02/2008 13:50
Une chanson des Cranberries, qui exprime bien l'absurdité de la guerre...
Zombie
Another head hangs lowly, Child is slowly taken. And the violence caused such silence, Who are we mistaken ? But you see, it's not me, it's not my family. In your head, in your head they are fighting, With their tanks and their bombs, And their bombs and their guns. In your head, in your head, they are crying... In your head, in your head, Zombie, zombie, zombie, Hey, hey, hey. What's in your head, In your head, Zombie, zombie, zombie ? Hey, hey, hey, hey, oh, dou, dou, dou, dou, dou... Another mother's breakin', Heart is taking over. When the vi'lence causes silence, We must be mistaken. It's the same old theme since nineteen-sixteen. In your head, in your head they're still fighting, With their tanks and their bombs, And their bombs and their guns. In your head, in your head, they are dying... In your head, in your head, Zombie, zombie, zombie, Hey, hey, hey. What's in your head, In your head, Zombie, zombie, zombie ? Hey, hey, hey, hey, oh, oh, oh, Oh, oh, oh, oh, hey, oh, ya, ya-a...
The Cranberries
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